Adam Busch

 

Adam @ The Cavern Club, Liverpool,
24 avril 2005
Photo par Delphine

Bio rapide

Avec l'aimable autorisation de Adam-Busch.net

Adam Busch est né le 6 juillet 1978 à East Medow, Long Island, dans l'Etat de New York. Il est le fils d'un pianiste de jazz. C'est donc fortement influencé par son père qu'Adam commence à s'intéresser très jeune à la musique et aux comédiens des années 30, 40 et 50. Adam chante, et joue aussi de divers instruments : harmonica, saxophone, piano, guitare et batterie.

Sa deuxième passion, après la musique, c'est être comédien. Quand il faisait partie du groupe de théâtre du lycée d'East Medow, il décrochait tous les rôles principaux. Pendant ses études, il a commencé à faire des films et des pubs qui l'ont "introduit" à la télévision. Il a ainsi joué le rôle de Warren Mears dans les saisons 5 et 6 de la série TV "Buffy la tueuse de vampires". Il avait en fait auditionné pour un rôle dans la série "Angel" mais n'a pas obtenu le rôle. Et quand les producteurs cherchaient quelqu'un pour jouer  Warren, ils ont pensé à lui. A l'origine il ne devait faire que 2 épisodes de la saison 5, mais finalement Adam a joué un des rôles les plus importants de la saison 6. Il a récemment joué dans « The Jury » et « Point Pleasant », deux séries inédites en France.

STATS
Date de naissance: 6 juillet 1978
Ville d'origine: East Meadow, Long Island, NY
Yeux: bruns
Cheveux: bruns
Taille: 1m72
Profession: acteur et musicien

FILMO
1994 – Léon
1996-1998 - The Mystery Files of Shelby Woo
1997 - Alien Vacation
1997 - Figure it out
1998 - Law & Order
2001 - The Fugitive
2001 - Sugar & Spice - more...
2001 - Magic Rock
2001-2003 - Buffy The Vampire Slayer
2004 – The Jury
2005 – Point Pleasant

Mon avis

Remarque de fille : il est bien plus sexy en chanteur qu’en méchant Warren Mears, forcément J. Et quand il chante, sa voix peut faire ressentir tout un tas d’émotions, de l’extrême mélancolie à la joie immense. Voir par exemple le premier refrain de ‘Playground’ (UM n°14, 11 avril 2003) : « Ollie ollie ollie oxen free, never meant that much to me », ou l’UM a capella de juillet… C’est très court mais ça me tue à chaque fois. En concert, c’est le plus expressif, celui qui crée vraiment le lien public-groupe. [Ce qui ne veut pas dire bien sur qu’Eric Kufs reste dans son coin et s’en fout, c’est juste une question de caractère].